Aldebert au Zénith d’Orléans

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La magie d’Aldebert ! L’artiste franc-comtois à l’énergie communicative sera en concert au Zénith d’Orléans le 18 décembre prochain. Un show qui s’annonce féérique.

Culture

Aldebert au Zénith d’Orléans

Que nous réserve votre show au Zénith d’Orléans ?

Aldebert : Je suis en tournée pour mon album « Enfantillages 4 » depuis septembre 2021. La première partie de la tournée a démarré les théâtres, dans une configuration plus intimiste. Depuis le mois de novembre de cette année, on présente « la version grands espaces », comme disait Alain Bashung, avec une tournée dans une quarantaine de zéniths, en France et en Suisse. Le show a été étoffé, étendu, agrandi ; la scénographie changée, de nouvelles chansons intégrées. Sans spoiler, je peux dire qu’il y aura de nombreux effets spéciaux. Pendant 1h40, le public va en prendre plein les yeux et les oreilles ! C’est un vrai bonheur de faire bouger le spectacle. Entre la toute première date et la dernière, il y aura eu une énorme évolution.

Votre public vous donne de l’énergie ?

Aldebert : C’est génial d’avoir un public familial comme le mien, de réunir trois générations. J’aime cette connexion. Et les enfants, on peut les emmener partout en termes d’émotion ! Il n’y a pas de chapelle musicale. Moi qui suis volage musicalement, cela permet d’apporter plein de couleurs différentes, de voyager dans de nombreuses contrées.

L’album « Enfantillages 4 », sorti en août 2021, vous voit collaborer avec de nouveaux artistes comme Yannick Noah, Calogero, Thomas Dutronc. Comment sont nées ces rencontres ?

Aldebert : Ce sont les chansons qui sont à l’origine de l’invitation. En termes de sensibilité, naturellement, elles ont appelé d’autres artistes. C’est la magie de la musique. Pour « Double Papa » avec Calogero, cela s’est imposé tout de suite. Nous sommes tous les deux des papas et c’est Nina, la fille de Calogero qui interprète le personnage de Camille dans le titre. Pour chaque morceau, il y avait une évidence. Tout coule de source depuis « Enfantillages 1 », auquel ont participé plusieurs artistes comme Anne Sylvestre et Maxime le Forestier. C’est devenu une sorte de signature, avec des artistes différents à l’occasion de chaque album. Il y a même eu un « Enfantillages de Noël » dans lequel je me suis amusé à « déglinguer » les clichés de Noël. Un défi sympa à relever !

Votre nouveau show a été capté au Zénith de Paris, le 26 novembre, afin d’être diffusé sur France 4 le samedi 24 décembre. Un joli cadeau de Noël pour les téléspectateurs.

Aldebert : Et pour nous aussi ! Cela va nous faire un très beau souvenir en vidéo. Lors de la captation, le curseur du stress était au maximum (rires). Mais on a eu la chance de vivre un moment incroyable, dans ce Zénith de Paris rempli à bloc avec 7000 spectateurs. L’ambiance était dingue ! Vraiment, c’est un beau cadeau.

Vous avez de nombreuses cordes à votre arc et une belle actualité puisqu’en novembre est sorti en librairie le 2e tome de vos histoires extraordinaires, « Gaspard et le mystérieux visiteur », avec vos textes et les illustrations de Florent Bégu.

Aldebert : J’avais envie de me réaliser dans l’écriture de livres pour enfants, et plus particulièrement d’histoires fantastiques. Là encore, c’est une sorte de déclinaison de l’aventure « Enfantillages ». Ce qui est intéressant dans cette série, c’est de mêler les illustrations graphiques et le côté podcast, le streaming, puisqu’on peut télécharger l’histoire à écouter. Cela a donné lieu à la création de tout un  univers sonore. Ce livre s’adresse aux 7-12 ans et raconte les aventures de Gaspard, un petit garçon ordinaire qui est CM2. Je suis beaucoup inspiré par la réalité, mais toujours avec un côté science-fiction qui vient pimenter le récit.

Aldebert, en concert au Zénith d’Orléans, le 18 décembre à 17h