« Mon très cher Denis, tu viens de nous quitter. Je suis triste. Très triste. Peut-être étais tu las d’habiter les ruines d’un monde révolu. Peut-être en avais-tu assez d’écrire dans une mélancolie sans fond la chronique de l’irréparable. Je t’emprunte ces mots. »« D’autres t’ont rendu hommage. Moi, je veux juste te dire merci. Le merci de cette terre de France qui collait à tes godasses. Le merci pour cette plume acérée que je t’enviais. Qu’elle est belle ta plume mon ami ! Le merci pour être venu, un jour de mai 2009, célébrer Jeanne d’Arc à Orléans. Elle t’attendait Jeanne et elle avait raison ! Parce qu’entre nous, cher Denis, ton discours fut et reste le plus beau de tous. Tu y parlais de l’éternité de Jeanne. » « Ami écrivain, la tienne est assurée. Ce discours le voilà. Merci Denis. »Lire le discours de Denis Tillinac à l'occasion des Fêtes de Jeanne d'Arc