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La low tech, traduit mot à mot par « basse technologie », c’est l’art de la technologie « juste ». Cette démarche vise à fabriquer des objets UTILES/ACCESSIBLES/DURABLES.
La low tech, traduit mot à mot par « basse technologie », c’est l’art de la technologie « juste ». Cette démarche vise à fabriquer des objets UTILES/ACCESSIBLES/DURABLES. Ce mouvement fait ressurgir des savoir-faire parfois anciens et oubliés, d’autres encore vivants dans d’autres parties du monde où les ressources manquent ou les outils de production sont moins développés. La low tech permet de renouer avec le bon sens, avec des outils et des gestes rendus accessibles à tous. C’est aussi un outil d’éducation populaire et de lien social.
Les bricoleurs, les créatifs et les ingénieurs s’y intéressent de plus en plus. Un mouvement Low-Tech se développe en France pour transmettre l’envie et les moyens de faire mieux avec moins. Une démarche clairement à contre-courant de l’hyper-technologie (hight-tech, green-tech) et l’intelligence artificielle qui envahissent notre quotidien.
La low-tech peut être expérimentale, mais elle peut aussi devenir un mode de vie.
La low tech étudie la réalité du besoin avant de choisir des options techniques. Cela permet d’ajuster sa consommation. La low tech considère le cycle de vie complet d’un objet en visant l’éco-conception et en cherchant à le faire durer longtemps grâce à la réparation ou au réemploi. Ces concpets recoupent celui visé par l’économie circulaire.