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Faire de la place chez soi, lutter contre les gaspillages, faire circuler les objets, consommer autrement, réveiller « l’argent qui dort »… il y a beaucoup de raisons de s’intéresser au « désencombrement ».
En 2021, 72% des français se déclaraient en faveur de la consommation responsable. Ce sujet gagne peu à peu du terrain et est de mieux en mieux défini.
« Consommer moins, consommer mieux, vivre plus léger » pourrait être le leitmotiv de l’étude lancée en 2021 par l’Ademe auprès de 21 familles volontaires aux profils variés.
Accompagnées par des spécialistes du rangement, des « homes-organisers », ces familles ont compté et classé les objets qu’elles possédaient dans 6 catégories :
Cette étape a permis de constater « le décalage entre ce que l’on croit avoir, ce que l’on a et ce dont on estime avoir besoin ». A ce stade, les familles ont pu voir qu’elles avaient accumulé des objets achetés un peu vite, stockés « au cas où », donnés ou offerts par un proche et qui au final ne sont pas utilisés. La qualité de vie dans les logements peut parfois en être fortement impactée. Cette étape est un déclic dans tous les foyers. Qu’est-ce qui nous pousse donc à nous encombrer ? Les raisons d’acheter et les freins à la consommation responsable sont explorés à ce stade.
Pour chaque catégorie d’objets, les familles ont alors élaboré un plan d’actions pour s’alléger sans gaspiller et ne pas se réencombrer, c’est-à-dire :
Perçue comme difficile au démarrage car elle expose chacun à ses habitudes de consommation, cette démarche a ensuite été vécue comme gratifiante et met en évidence quelques enseignements :
Rassemblez tous les objets d’une même catégorie au même endroit (ex : la vaisselle) et passez-les au crible de plusieurs questions :
Si vous savez répondu NON à ces 5 questions, vous pouvez vous séparer de cet objet : le donner ou le vendre.
Consultez le tuto « comment faire de la place chez soi …et ne pas réencombrer » et la synthèse de l’étude