Registre Plan d'urbanisme métropolitain - Procédure de modification n°3

Toutes les propositions et observations du public formulées :

Créé(e) Sujet Message Pièces jointes
Suppression emplacement réservé K028 Bonjour,
L'emplacement réservé K028 n'a pas de raison d'être maintenu. En effet, il est constitué des parcelles BO 747 et BO 832.
Concernant la parcelle BO 832, celle-ci est déjà la propriété de la ville d'Olivet.
Concernant la parcelle BO 747 dont nous sommes les propriétaires, elle a fait l'objet d'une mise en demeure pour délaissement à la commune d'Olivet le 9 novembre 2024 (voir pièce jointe). La commune a refusé l'acquisition par un mail en date du 28 février 2025 (voir pièce jointe).
Pourriez-vous acter la suppression de l'emplacement réservé K028 ?
Bien cordialement,
modification PLU Habitante de La Source depuis 40 ans je vois avec horreur depuis toutes années la végétation , les arbres disparaître de plus en plus. vers l université, avenue de concyr, rue Chateaubriand et bien d autres quartiers encore. Je demande à ce que la zone des 4 vents et celle de la rue Chateaubriand, appartenant au département, à ne pas réiterer ce qui est déjà en cours tout autour de La Source, à savoir continuer à déboiser à tout va pour bétonner,construire et construire encore alors que beaucoup de sites alentours sont en friche; Réfléchissez un peu, en ces temps de changement climatique, alors que l on devrait prôner les haies vives, les arbres bref on a BESOIN de nature et d espaces ombragés. Le profit pécunier est devenu la norme de tous nos politiques!!! Pensez aux futures générations!!!!
urbanisme à Saran Le PLU adopté en 2015 par le conseil municipal de Saran prévoyait une densification de la population, notamment en centre ville. Depuis, plus 2 500 programmes de logements collectifs ont été lancés, et cette densification se fait au détriment de la qualité de vie et de l'environnement. Il faudrait que le PLU devenu PLUM modifie cette disposition et que la densification soit arrêtée sur toute la commune de Saran. STOP à cette urbanisme effréné !
Requête de reclassification (d'une partie) de notre parcelle n°AD.01.0105 A l’attention de : Madame Edith SAVELON, Commissaire Enquêtrice désignée pour la modification n°3 du PLUM orléanais

Objet : Requête de changement de classification (d’une partie) de notre parcelle n°AD.01.0105 dans le PLUM orléanais

Madame l'enquêtrice,

dans le cadre de l'enquête publique préalable à la modification n°3 du PLUM orléanais, nous souhaitons vous soumettre en pièce jointe une requête d'évolution de la classification d'une portion de notre terrain ; cette dernière, bien qu'enchâssée entre 2 parties d'une zone "N" ne relève, en effet, pas du tout de cette nature. Nous souhaiterions donc pouvoir l'aménager afin d'accéder plus librement à notre résidence principale, voire y déposer un bâti mobile / temporaire de petite surface afin d'y héberger l'activité professionnelle libérale de ma compagne, par exemple.

Dans l'attente de votre retour, ma compagne et moi nous tenons à votre disposition pour tout complément d'information qui vous semblerait nécessaire et pouvons, au besoin, nous rendre disponible pour un échange de vive voix lors de votre permanence dans notre commune, le 4 avril prochain, ou une visite sur notre terrain.

Bonne réception de notre demande et agréable journée,


Saint-Denis-En-Val


Zone UR1 Nous sommes une agence d'architecture basée à Fleury-les-Aubrais et nous occupons de projet pour les particuliers principalement sur la métropole d'Orléans mais également dans tout le Loiret.

Notre observation porte sur la zone UR1 où un projet de surélévation, dont nous nous occupons, a été refusé à cause de la règle de la bande d’implantation fixée à 15m en limite de voie publique et portée à 20m en cas de recul.
La bande de recul arrive en un peu en amont du projet de surélévation et ainsi invalide le projet (cf. description projet).

Nous sommes conscients que la règle de la bande d’implantation doit permettre d’organiser la constructibilité des fonds de parcelles dans la perspective du maintien de la composition d’ensemble et les constructions dit en « second rideau ». Toutefois, elle empêche les propriétaires de pouvoir agrandir leur maison (extensions, surélévations).

La maison d’habitation des porteurs de projet est située dans un habitat dense à l’est d’Orléans. Elle est mitoyenne des deux côtés à la suite d’une division d’une longère en trois logements individuels. Le jardin arrière est inaccessible depuis la rue et nécessite de passer dans le logement pour l’atteindre.

Le projet de surélévation reste dans la même emprise au sol que la maison sans ajout de surface bâti au sol. De même, elle reste dans le profil de la bâtisse principale en étant inférieure au faitage et est invisible depuis la rue.


Nos suggestions pour la modification en cours du PLUM en zone UR1 sont :

- ARTICLE UR1-2.2.1 / DANS UNE BANDE D’IMPLANTATION A COMPTER DE L’ALIGNEMENT
Soit, reculer la bande d’implantation de 20m en profondeur à 25m en profondeur lorsque la construction principale est reculée par rapport à la voie publique. Ceci permettrait à d’autres porteurs de projet de mener à bien leur projet d’extension ou de surélévation sans pour autant autoriser les projets de construction de logement en second rideau dans cette zone.

- ARTICLE UR1-2.2.1 / DANS UNE BANDE D’IMPLANTATION A COMPTER DE L’ALIGNEMENT
Soit, dans le point n°5, exclure aussi les surélévations dans le cas où celles-ci sont inférieures au faitage de la bâtisse principale ou invisibles depuis la rue (comprises dans le profil du bâtiment).

- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION
Soit, dans le point n°1, autoriser l’implantation des constructions en limite séparative pour les extensions et/ou les surélévations.

- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION
Soit, dans le point n°3, exclure aussi les surélévations quand celles-ci sont comprises dans l’emprise au sol de la bâtisse principale et inférieures à la hauteur maximale autorisée dans la zone auquel est soumis le terrain.

- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION
Soit, dans le point n°4, exclure aussi les surélévations quand celles-ci sont édifiées dans le profil de la bâtisse principale en-dessous du faitage.

Nous pensons que ces ajouts permettraient de valider le projet mais également d’autres intentions de projet qui sont aujourd’hui irréalisables comme des extensions ou des surélévations pour des porteurs de projet qui souhaitent agrandir sans devoir déménager, faute de moyens suffisants.
Occultation clôture Bonjour, pourrons nous occulter nos clôtures sur rue avec des lames bois verticales ? (Voir photos)

Sinon quelles solutions seront possibles ?

Merci pour votre retour
Modification de Zonage-- Mardié - Parcelle cadastrée 24 – La Garenne Objet : Mardié - Parcelle cadastrée 24 – La Garenne
Le 03 avril 2025.
Madame, le Commissaire enquêteur.
La consultation de la documentation en ligne du Plum semble indiquer un classement en zone N de ma parcelle. Si cela est confirmé, je sollicite de votre compétence, un changement de zonage afin d’ouvrir ce terrain à la construction d'une habitation.
Au cœur du bassin de vie de Mardié, surfant sur la dynamique du clos voisin de l’Aumône et de ses espaces verts déjà aménagés, ma demande s’appuie ainsi sur la prescription 2.1 du document d’orientation du Scot en promouvant le développement d’un habitat proche des équipements et services. Tout en soutenant l’attractivité démographique et l’accueil mesuré de nouveaux habitants, cette parcelle 24 de petite superficie (1300m2) ne pourrait-elle pas être intégrée au zonage UR4-L voisin sans nuire à la transition écologique en arrière plan ?
En effet, limitrophe et séparée du clos de l’Aumône par la rue de la Garenne, elle est face aux réseaux tout à l’égout, électrique et téléphonique. Une borne incendie à 10 mètres complète la servitude.
En première ligne sur la route et située sur un point haut aux aléas géologiques faibles, sa façade ouverte Sud-Est donne rapidement accès aux commerces et services situés aux abords du clos de Pont aux Moines ainsi qu’au centre bourg. Ainsi l’accès aux soins de santé et aux équipements sportifs est accessible en quelques minutes à pieds, délaissant la voiture.
Ainsi sans engendrer de surcoût pour la commune, l’impact positif pour le commerce local et les services publics n’en serait que plus bénéfique.
L’’extrême proximité avec une zone pavillonnaire, son ouverture visuelle sur le centre bourg proche dominé par son clocher sont autant d’éléments qui pourraient favoriser son inclusion dans l’optique que nous vous proposons.
En pensant à mes aïeux Mardésiens qui ont œuvrés pour l’évolution de la commune en bâtissant entre autre, cette suite de maison de bourg sise 401 avenue de Pont aux Moines au début du 20ème siècle, ce serait un clin d’œil et un retour aux sources.
Dans l’espoir d’une suite favorable exauçant notre projet de seconde partie de vie, veuillez recevoir nos salutations cordiales.
PS : En pièces jointes, la parcelle attenante au clos de l’Aumône
Boisement urbain St Jean de Braye parcelle B334 Ci joints une lettre argumentée pour expliquer notre opposition à ce projet sur notre propriété.
Zone UR1 Notre observation porte sur la zone UR1 où notre projet de surélévation a été refusé à cause
de la règle de la bande d’implantion fixée à 15m en limite de voie publique et portée à 20m en
cas de recul.
La bande de recul arrive en un peu en amont du projet de surélévation et ainsi invalide le projet
(cf. description projet).
Nous sommes conscients que la règle de la bande d’implantation doit permettre d’organiser la
constructibilité des fonds de parcelles dans la perspective du maintien de la composition
d’ensemble et les constructions dit en « second rideau ». Toutefois, elle empêche les
propriétaires de pouvoir agrandir leur maison (extensions, surélévations).
Notre maison d’habitation est située dans un habitat dense à l’est d’Orléans. Elle est mitoyenne
des deux côtés à la suite d’une division d’une longère en trois logements individuels. Le jardin
arrière est inaccessible depuis la rue et nécessite de passer dans le logement pour l’atteindre.
Notre projet de surélévation reste dans la même emprise au sol que notre maison sans ajout
de surface bâti au sol. De même, elle reste dans le profil de notre bâtisse principale en étant
inférieur au faitage et est invisible depuis la rue.
Nos suggestions pour la modification en cours du PLUM en zone UR1 sont :
- ARTICLE UR1-2.2.1 / DANS UNE BANDE D’IMPLANTATION A COMPTER DE
L’ALIGNEMENT
Soit, reculer la bande d’implantation de 20m en profondeur à 25m en profondeur lorsque la
construction principale est reculée par rapport à la voie publique. Ceci permettrait à des
porteurs de projet comme nous-même de mener à bien leur projet d’extension ou de
surélévation sans pour autant autoriser les projets de construction de logement en second
rideau.
- ARTICLE UR1-2.2.1 / DANS UNE BANDE D’IMPLANTATION A COMPTER DE
L’ALIGNEMENT
Soit, dans le point n°5, exclure aussi les surélévations dans le cas où celles-ci sont inférieures
au faitage de la bâtisse principale ou invisibles depuis la rue (comprises dans le profil du
bâtiment).
- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION
Soit, dans le point n°1, autoriser l’implantation des constructions en limite séparative pour les
extensions et/ou les surélévations.
- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION
Soit, dans le point n°3, exclure aussi les surélévations quand celles-ci sont comprises dans
l’emprise au sol de la bâtisse principale et inférieures à la hauteur maximale autorisée dans la
zone auquel est soumis le terrain.
- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION

2/2
Soit, dans le point n°4, exclure aussi les surélévations quand celles-ci sont édifiées dans le
profil de la bâtisse principale en-dessous du faitage
Nous pensons que ces ajouts permettraient de valider notre projet mais également d’autres
intentions de projet qui sont aujourd’hui irréalisables comme des extensions ou des
surélévations pour des porteurs de projet qui souhaitent agrandir sans devoir déménager.
Zone UR1 Notre observation porte sur la zone UR1 où notre projet de surélévation a été refusé à cause
de la règle de la bande d’implantion fixée à 15m en limite de voie publique et portée à 20m en
cas de recul.
La bande de recul arrive en un peu en amont du projet de surélévation et ainsi invalide le projet
(cf. description projet).
Nous sommes conscients que la règle de la bande d’implantation doit permettre d’organiser la
constructibilité des fonds de parcelles dans la perspective du maintien de la composition
d’ensemble et les constructions dit en « second rideau ». Toutefois, elle empêche les
propriétaires de pouvoir agrandir leur maison (extensions, surélévations).
Notre maison d’habitation est située dans un habitat dense à l’est d’Orléans. Elle est mitoyenne
des deux côtés à la suite d’une division d’une longère en trois logements individuels. Le jardin
arrière est inaccessible depuis la rue et nécessite de passer dans le logement pour l’atteindre.
Notre projet de surélévation reste dans la même emprise au sol que notre maison sans ajout
de surface bâti au sol. De même, elle reste dans le profil de notre bâtisse principale en étant
inférieur au faitage et est invisible depuis la rue.
Nos suggestions pour la modification en cours du PLUM en zone UR1 sont :
- ARTICLE UR1-2.2.1 / DANS UNE BANDE D’IMPLANTATION A COMPTER DE
L’ALIGNEMENT
Soit, reculer la bande d’implantation de 20m en profondeur à 25m en profondeur lorsque la
construction principale est reculée par rapport à la voie publique. Ceci permettrait à des
porteurs de projet comme nous-même de mener à bien leur projet d’extension ou de
surélévation sans pour autant autoriser les projets de construction de logement en second
rideau.
- ARTICLE UR1-2.2.1 / DANS UNE BANDE D’IMPLANTATION A COMPTER DE
L’ALIGNEMENT
Soit, dans le point n°5, exclure aussi les surélévations dans le cas où celles-ci sont inférieures
au faitage de la bâtisse principale ou invisibles depuis la rue (comprises dans le profil du
bâtiment).
- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION
Soit, dans le point n°1, autoriser l’implantation des constructions en limite séparative pour les
extensions et/ou les surélévations.
- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION
Soit, dans le point n°3, exclure aussi les surélévations quand celles-ci sont comprises dans
l’emprise au sol de la bâtisse principale et inférieures à la hauteur maximale autorisée dans la
zone auquel est soumis le terrain.
- ARTICLE UR1-2.2.2 / AU-DELÀ DE CETTE BANDE D’IMPLANTATION

2/2
Soit, dans le point n°4, exclure aussi les surélévations quand celles-ci sont édifiées dans le
profil de la bâtisse principale en-dessous du faitage
Nous pensons que ces ajouts permettraient de valider notre projet mais également d’autres
intentions de projet qui sont aujourd’hui irréalisables comme des extensions ou des
surélévations pour des porteurs de projet qui souhaitent agrandir sans devoir déménager.
Emprises de pleine terre : Emprises de pleine terre :

Par soucis de cohérence au sein du périmètre de la ZAC Fil Soie, la SEMDO souhaite :
o Maintenir les parties en ZAC des parcelles CD 550 et CD 1011 en « non règlementé » ;
o Passer les parcelles BZ 66 et BZ 753 en « non règlementé » ;
o Maintenir les parcelles CD 38 et CD 996 en « non règlementé » ;
o Passer les parcelles CD 616 et CD 627 à 60 %.
Hauteur au faîtage (secteurs CD - BZ - CK) Hauteur au faîtage :

La SEMDO souhaite, afin de préserver une cohérence entre la ZAC Fil Soie et ses abords : maintenir 9 m pour les parcelles CD 624, CD 970 et CD 971, CD 924, CD 275, CD 291, CD 296 a, CD 309, CD 312, CD 926, CD 1236, CD 1307, CD 341, CK 355, CK 673, CD 525 intégralement, CD 1010, CD 1279 intégralement, BZ 679.
Zonage (secteurs CD et BZ du cadastre) Zonage :

Par soucis de cohérence au sein du périmètre de la ZAC Fil Soie, la SEMDO souhaite :
o Maintenir les fonds de parcelles (parties dans la ZAC) des parcelles CD 550 et CD 1011 en 1AU ;
o Passer les parcelles BZ 66, BZ 67, BZ 753, BZ 800, BZ 1080, BZ 1079 en 1AU ;
o Passer les parcelles CD 30, CD 38, CD 741, CD 994 intégralement, CD 996 en zone 1AU ;
o Passer la parcelle CD 627 en UR1
o Maintenir les parcelles CD 1272, CD 1273, CD 1305 et CD 1306 en UR1.
Maintient des coeurs d'ilot et des arbres remarquables bonjour,
je souhaite que les cœurs d'Ilots compris sur les parcelles CD0675, CD0760, CD1230, CD1222 et CD1054, CD0624 soient maintenus et protégés pour interdire les constructions et surtout l'abattage d'arbres remarques sur les parcelles CD1073 et CD0690 3 cèdres qui ont plus de 50 ans. ce quartier est "la ville à la campagne" comme le dit Mm le Maire j'espère que ces espaces seront protégés. idem sur les parcelles BZ0066 et BZ0753 ou il y a des très beaux arbres qui vont être encore sacrifiés par un promoteur comme ceux qui ont été abattus sur la parcelle avec la construction xxx.
Parcelle BK 334 Boisement urbain Saint Jean de Braye Ci- joint mes observations argumentées sur la classement en Boisement Urbain de ma parcelle BK 334
Création d’un alignement d’arbres avenue de Verdun - Olivet Bonjour,
Sur le document " 0.2.2.6.b_-_Notice_explicative_M3.pdf" , page 225 et page 226. Il est est proposé :
• d’ajouter un alignement d’arbres sur une rangée d’arbres existants avenue de Verdun. ", sur la parcelle AP0864 sise avenue de Verdun.
Cette parcelle appartient à Auchan, service privé. Pourquoi la ville intervient sur cette parcelle? ( est elle propriétaire maintenant ?)
Et sur ces mêmes pages, il y a une nouvelle zone réservée "K102". Qu'est il prévu sur cette zone? Appartient elle à l'immeuble qui est à coté ?
Je compte sur votre réactivité dans cette demande pour un retour.
cordialement
Les Orientation d'Aménagement et Programmation de Projets M3 sur la zone de LA BISSONNERIE Après lecture du PLUM et de l'OAP concernant la zone BISSONNERIE PETIT BOIS, SPLF45 souhaite apporter des remarques sur les orientations :
1 - La zone humide ne peut-être réduite aux deux zones humides botaniques de 0,14 ha, mais concerne toute la zone humide pédologique de 8,87 ha.
Elle demeure à protéger au regard du SDAGE 2022-2027.
2 - Le programme prévoit le développement du site et s'inscrit dans une logique de densification de la commune. Il ne pourra qu'impacter négativement la biodiversité et aggraver les risques d'inondation.
Pour preuve, les inondations de mai et juin 2016 dans le LOIRET.
3 - L'Association préconise que le PLUM requalifie cette zone en zone agricole protégée : ZAP
Actuellement, un exploitant agricole cultive ces terres qui lui sont nécessaires pour maintenir ses revenus.
De plus, nous souhaitons que toute la partie non cultivée reste à l'état naturel.
Cette zone est un des rares poumon vert restant sur l'agglomération.
4 - La FRANCE s'est fixée , dans le cadre de la loi Climat et Résilience adoptée en août 2021 :
- L'objectif d'atteindre le "zéro artificialisation nette des sols" en 2050 avec un objectif intermédiaire de réduction de moitié de la consommation d'espaces naturels, agricoles et forestiers dans les 10 prochaines années (2021-2031) par rapport à la décennie précédente (2011-2021).
En violation de la législation (article L-2231-1 du code général des collectivités territoriales, la Métropole d'Orléans n'a pas établi de rapport triennal sur le rythme
de l'artificialisation des sols et le respect des objectifs de la sobriété foncière.
Enfin, nous attirons votre attention sur la consommation et l'artificialisation qui sont préjudiciable à la Biodiversité, au climat et à la vie terrestre en général :
- Accélération de la perte de la biodiversité
- Réchauffement climatique
- Amplification des risques d'inondation
- Réduction des capacités des terres agricoles à nous nourrir
- Accroissement des dépenses liés au réseaux
En espérant avoir retenu toute votre attention
Transformation de l'ancienne vinaigrette en immeuble Bonjour
Je réside sur le fb bannier à côté de l'ancienne vinaigrette martin pourret qui a déménagé et sur le site de laquelle est prévue la construction d'un immeuble
Nous ne pouvons pas dénaturer ce quartier où il fait bon vivre où il se trouve des maisons classées également. Il est déjà difficile de se garer devant chez soi comment cela va t'il se passer avec de nouveaux occupants ? Et les embouteillages que cela va également occasionner ...je suis absolument contre cette construction.
Merci
PROTEGEONS LES MAISONS DE LA RUE DANTON ET LE SEUL QUARTIER PAVILLONNAIRE ET HISTORIQUE DE FLEURY-LES-AUBRAIS PROTEGEONS LES MAISONS DE LA RUE DANTON ET LE SEUL QUARTIER PAVILLONNAIRE ET HISTORIQUE DE FLEURY-LES-AUBRAIS


Dans la modification n°3 du PLUm, la mairie de Fleury-les -Aubrais demande d’identifier « Bâtiments ou ensembles de bâtiments remarquables » deux quartiers.
Ainsi, l’association des Riverains du Clos de Lapanty demande :

1- d’identifier et protéger les maisons n°xx xx xx rue Danton, les seules construites entre la rue Carnot et la rue Dessaux, indispensables donc pour conserver l’identité pavillonnaire et historique du quartier.

2- d’identifier et protéger dans son ensemble notre quartier pavillonnaire et historique, rue Lazare Carnot, rue Danton, rue de Joie, rue Arago.
Ce quartier est composé de 57 maisons de la reconstruction d’après-guerre et de maisons de la fin XIXème, début XXème ayant survécu aux bombardements de la guerre 39-45.
Les maisons de la fin XIXème, début XXème sont toutes identifiées à l’article L .151-19 du code de l’urbanisme et de ce fait elles ne peuvent être ni démolies ni dénaturées. De façon injuste les maisons xx xx xx de la rue Danton sont les seules à ne pas être identifiées.

Protégeons les maisons de la rue Danton et le seul quartier pavillonnaire et historique de la commune.
PROTEGEONS LES MAISONS DE LA RUE DANTON ET LE SEUL QUARTIER PAVILLONNAIRE ET HISTORIQUE DE FLEURY-LES-AUBRAIS PROTEGEONS LES MAISONS DE LA RUE DANTON ET LE SEUL QUARTIER PAVILLONNAIRE ET HISTORIQUE DE FLEURY-LES-AUBRAIS


Dans la modification n°3 du PLUm, la mairie de Fleury-les -Aubrais demande d’identifier « Bâtiments ou ensembles de bâtiments remarquables » deux quartiers.
Ainsi, l’association des Riverains du Clos de Lapanty demande :

1- d’identifier et protéger les maisons n°xx-xx-xx rue Danton, les seules construites entre la rue Carnot et la rue Dessaux, indispensables donc pour conserver l’identité pavillonnaire et historique du quartier.

2- d’identifier et protéger dans son ensemble notre quartier pavillonnaire et historique, rue Lazare Carnot, rue Danton, rue de Joie, rue Arago.
Ce quartier est composé de 57 maisons de la reconstruction d’après-guerre et de maisons de la fin XIXème, début XXème ayant survécu aux bombardements de la guerre 39-45.
Les maisons de la fin XIXème, début XXème sont toutes identifiées à l’article L .151-19 du code de l’urbanisme et de ce fait elles ne peuvent être ni démolies ni dénaturées. De façon injuste les maisons xx xx xx de la rue Danton sont les seules à ne pas être identifiées.

Protégeons les maisons de la rue Danton et le seul quartier pavillonnaire et historique de la commune.
Demande de repérage à l'article L.151-19 du code de l'urbanisme des maison n°22-26-28-30 rue Danton et du quartier pavillonnaire et historique rue Carnot, rue Danton, rue Joie, rue Arago de Fleury les Aubrais PROTEGEONS LES MAISONS DE LA RUE DANTON ET LE SEUL QUARTIER PAVILLONNAIRE ET HISTORIQUE DE FLEURY-LES-AUBRAIS
Dans la modification n°3 du PLUm, la mairie de Fleury-les -Aubrais demande d’identifier « Bâtiments ou ensembles de bâtiments remarquables » deux quartiers.
Ainsi, l’association des Riverains du Clos de Lapanty demande :

1- d’identifier et protéger les maisons n°xx xx xx rue Danton, les seules construites entre la rue Carnot et la rue Dessaux, indispensables donc pour conserver l’identité pavillonnaire et historique du quartier.

2- d’identifier et protéger dans son ensemble notre quartier pavillonnaire et historique, rue Lazare Carnot, rue Danton, rue de Joie, rue Arago.
Ce quartier est composé de 57 maisons de la reconstruction d’après-guerre et de maisons de la fin XIXème, début XXème ayant survécu aux bombardements de la guerre 39-45.
Les maisons de la fin XIXème, début XXème sont toutes identifiées à l’article L .151-19 du code de l’urbanisme et de ce fait elles ne peuvent être ni démolies ni dénaturées. De façon injuste les maisons xx xx xx de la rue Danton sont les seules à ne pas être identifiées.

Protégeons les maisons de la rue Danton et le seul quartier pavillonnaire et historique de la commune.
Projet Martin Pouret Je réside rue Maurice Dubois petite rue qui se trouve à quelque mètres de la vinaigrerie fg Bannier, bâtiment qui représente la mémoire et l'histoire d'Orléans. Cette partie du Fg est constituée de petits bâtiments qui ont échappés aux bombardements de la dernière guerre. En tant qu'Orléanaise je suis très attachée à ce quartier historique et trouve aberrant que l'on envisage de construire un immeuble, sachant que le Fg Bannier est saturé aussi bien par la circulation que par le stationnement anarchique sur les trottoirs ne laissant pas de place pour la circulation des piétons. Il est urgent de revoir le PLUM de ce quartier avec sagesse pour perdurer la mémoire et l'histoire de notre ville pour les nouvelles générations.
Définition d'emprise au sol La définition d'emprise au sol "les dalles, terrasses,
rampes maçonnées, etc. de plus de 20 cm
d’épaisseur constituent de l’emprise au sol" laisse sous entendre que, même une terrasse au ras du sol peut constituer un emprise au sol, tant que son épaisseur totale est inférieure à 20 cm. La phrase devrait plutôt dire "les dalles, terrasses,
rampes maçonnées, etc. de plus de 20 cm
de hauteur constituent de l’emprise au sol"
Modification Zonage ZD 33 et 34
à Madame le Commissaire Enquêteur,
Plan Local d’Urbanisme Métropolitain - Orléans métropole
Objet : Demande d’incorporation de deux parcelles agricoles en zone UR4OL
Pièce jointe : Un plan
Je possède en indivision avec mes frères et sœurs un terrain agricole (Zone A) situé à MARDIE rue du Vauret ; il se compose des deux parcelles contigües ZC 33 et 34 de 6320 m2 et 440 m2.
Depuis une quarantaine d'années, elles ne sont pas cultivées, et bien que fauchées régulièrement, elles ne valorisent pas l’environnement agréable de ce quartier de maisons individuelles.
Or, ces parcelles sont très proches de la zone
UR4 -OL, et également voisines de plusieurs maisons d’habitation. En outre leur raccordement aux réseaux de la rue du Vauret serait techniquement possible. La réalisation d’un égout est prévue à proximité, sur la rue de la Verdelle.
Si pendant toutes ces années, aucun agriculteur n’a proposé d’entreprendre l’exploitation de ces terres, nous avons reçu, en revanche plusieurs demandes
téléphoniques et verbales de personnes souhaitant en acquérir une petite partie en vue d’y faire construire une maison. A chaque fois nous avons bien entendu répondu que ces terres avaient une vocation agricole.
Je vous prie de bien vouloir examiner l’éventualité d’une modification du périmètre de la zone UR4-OL plaçant ces deux parcelles dans le secteur constructible.
Si ma demande venait à aboutir, mon projet qui consisterait à diviser ZC 33 et 34 en cinq ou six parcelles de plus de 1000 m2 donnant sur la rue du Vauret. L’objectif serait de conserver le caractère rural du quartier.
Dans l’attente de la suite que vous voudrez bien réserver à ma requête, je vous priede croire, Madame le Commissaire Enquêteur, en l’expression de mes sentiments distingués.

Modification Zonage ZC 63
à Madame le Commissaire Enquêteur,
Plan Local d’Urbanisme Métropolitain - Orléans métropole
Objet : Demande d’incorporation d'un terrain agricole en zone UR4-OL
Pièce jointe : Un plan
Je possède en indivision avec mes frères et sœurs un terrain agricole (Zone A) situé à MARDIE rue du Vauret, il s’agit de la parcelle ZC 63 de 2530 m2..
Depuis une quarantaine d'années, il n'est pas cultivé, et bien que fauché régulièrement, il ne valorise pas l’environnement agréable de ce quartier
de maisons individuelles.
Or, cette parcelle est très proche de la zone UR4OL, et également voisine de quelques maisons d’habitation. En outre son raccordement aux réseaux de la rue du Vauret serait techniquement possible. La réalisation d’un égout est prévue à proximité, sur la rue de la Verdelle.
Si pendant toutes ces années, aucun agriculteur n’a proposé d’exploiter de ce terrain, nous avons reçu, en revanche, quelques demandes téléphoniques et verbales de personnes souhaitant l'acquérir en vue d’y faire construire une maison. Nous avons bien entendu répondu que ce terrain avait une vocation agricole.
Je vous prie de bien vouloir examiner l’éventualité d’une modification du périmètre de la zone UR4-OL incorporant ce terrain dans le secteur constructible.
Dans l’attente de la suite que vous voudrez bien réserver à ma requête, je vous prie de croire, Madame le Commissaire Enquêteur, en l’expression de mes sentiments distingués.
Modification Zonage ZD 383

à Madame le Commissaire Enquêteur,
Plan Local d’Urbanisme Métropolitain - Orléans métropole

Objet : Demande d’incorporation d'un terrain agricole en zone UR4-OL
Pièce jointe : Un plan

Je possède en indivision avec mes frères et sœurs un terrain agricole (Zone A) situé à MARDIE rue du Vauret, la parcelle ZD 383 de 6108 m2.
Depuis une quarantaine d'années, il n'est pas cultivé, et bien que fauché régulièrement, il ne valorise pas l’environnement agréable de ce quartier.
Or, cette parcelle est très proche de la zone
UR4-OL, et également voisine de quelques maisons d’habitation. En outre son raccordement aux réseaux de la rue du Vauret serait techniquement possible. La réalisation d’un égout est prévue à proximité, sur la rue de la Verdelle.
Si pendant toutes ces années, aucun agriculteur n’a proposé d’entreprendre l’exploitation de ces terres, nous avons reçu, en revanche, plusieurs demandes téléphoniques et verbales de personnes souhaitant en acquérir une petite partie en vue d’y faire construire une maison. J'ai bien entendu répondu que ce terrain avait une vocation agricole.

Je vous prie de bien vouloir examiner l’éventualité d’une modification du périmètre de la zone UR4-OL incorporant ce terrain dans ce secteur constructible.
Si ma demande venait à aboutir, je ferais réaliser une étude dont l’objectif serait de permettre la construction de plusieurs pavillons, en conservant le caractère rural du quartier.
Dans l’attente de la suite que vous voudrez bien réserver à ma requête, je vous prie de croire, Madame le Commissaire Enquêteur, en l’expression de mes sentiments distingués.
Modification Zonage ZD 383
à Madame le Commissaire Enquêteur,
Plan Local d’Urbanisme Métropolitain - Orléans métropole

Objet : Demande d’incorporation d'un terrain agricole en zone UR4-OL
Pièce jointe : Un plan

Je possède en indivision avec mes frères et sœurs un terrain agricole (Zone A) situé à MARDIE rue du Vauret, la parcelle ZD 383 de 6108 m2.
Depuis une quarantaine d'années, il n'est pas cultivé, et bien que fauché régulièrement, il ne valorise pas l’environnement agréable de ce quartier.
Or, cette parcelle est très proche de la zone
UR4-OL, et également voisine de quelques maisons d’habitation. En outre son raccordement aux réseaux de la rue du Vauret serait techniquement possible. La réalisation d’un égout est prévue à proximité, sur la rue de la Verdelle.
Si pendant toutes ces années, aucun agriculteur n’a proposé d’entreprendre l’exploitation de ces terres, nous avons reçu, en revanche, plusieurs demandes téléphoniques et verbales de personnes souhaitant en acquérir une petite partie en vue d’y faire construire une maison. J'ai bien entendu répondu que ce terrain avait une vocation agricole.

Je vous prie de bien vouloir examiner l’éventualité d’une modification du périmètre de la zone UR4-OL incorporant ce terrain dans ce secteur constructible.
Si ma demande venait à aboutir, je ferais réaliser une étude dont l’objectif serait de permettre la construction de plusieurs pavillons, en conservant le caractère rural du quartier.
Dans l’attente de la suite que vous voudrez bien réserver à ma requête, je vous prie de croire, Madame le Commissaire Enquêteur, en l’expression de mes sentiments distingués.
Prise en compte du PLU d'Orléans dans le PLUM et en conséquence des dispositions réglementaires de la ZAC du Champ-Chardonylementairerèg Ci-joint requête remise en main propre, en mairie d'Orléans, le 19 mars 2025, à Madame le Commissaire-enquêteur.
protection de nos arbres dans l'agglomération orléanaise Bonjour

J'habite à Orléans et je souhaite protégé les arbres de mon jardin qui étaient là avant la construction de ma maison et bien avant la construction des maisons de mes voisins .
Ces arbres faisaient partie de l'arboretum qui était à l'emplacement de ma maison et sont magnifiques.
Je souhaite demander le classement comme arbre remarquable ceux ci en hommage au don de l'ancien propriétaire pour le parc du moins Roux.
Je subi régulièrement la pression d'esprit peu évoluer qui souhaite couper ces arbres .....
Vous pouvez me joindre par téléphone au XX XX XX si vous souhaitez avoir de plus amples renseignements.


Cordialement Mr Ngo
Protégeons les maisons de la rue Danton - Fleury-les-Aubrais Ce quartier historique de Fleury-les-Aubrais doit être PROTÉGÉ et RESPECTÉ.
Modificationsur le reclassement de parcelles Bonjour,
La demande fait suite à une demande en cours sur la commune de saint Cyr en val. La demande de modification s’agit de reclasser une partie du terrain en UR4. Cordialement
Boisement urbain St Jean de Braye, parcelle BK 334 Bonjour,
Dans son courrier du 18 mars 2025, la mairie de St Jean de Braye nous informe qu’elle s’octroie des droits sur toute une parcelle de notre propriété, notre « petit bois », en plein centre ville, zone de haute spéculation immobilière. Non pas sur quelques arbres précieux à préserver, mais sur toute la parcelle, déclarée « boisement urbain ».

Ce concept ne semble pas bien défini, et les formulations de la lettre sont assez inquiétantes. La mairie commence par nous dire que son objectif est de préserver la nature en ville. Préserver une parcelle entière de boisement, qui existe depuis cent ans, suppose un engagement juridique dans le temps long, une garantie que toute spéculation impliquant le déboisement sera interdite, y compris après vente, disons pour encore cinquante ans. Mais cette garantie n’existe pas. Au contraire : « Le PLUM est régulièrement modifié pour s’adapter aux réalités de terrain », précise d’emblée la mairie. Concernant ce petit bois centenaire, quelle « réalité de terrain » a bien pu changer entre PLUM n°2 et PLUM n°3 ? Mystère. Le changement n’a pu se produire qu’à la mairie, lors d’une réunion : quelqu’un a eu une idée, et a su l’imposer. C’est ainsi que la mairie « a choisi », unilatéralement, « d’ajouter un ‘boisement urbain’ » sur notre parcelle, mesure qui « va impacter la constructibilité d’une partie du terrain ». C’est écrit dans la lettre.

Ma principale question est la suivante. Qu’est-ce que ce concept de « boisement urbain » ? Quels devoirs et quels droits implique-t-il exactement pour le propriétaire des arbres, quels devoirs pour la mairie qui décide de ce classement et s’arroge de nouveaux droits ? S’il y a de nouveaux devoirs pour le propriétaire, comment la décision peut-elle être prise sans lui, sans concertation préalable, sans dédommagement, et en laissant entendre qu’une telle décision n’a qu’une pérennité circonstancielle, qu’elle est sujette à n’importe quel revirement capricieux ? D’où notre inquiétude légitime : derrière la bonne foi écologique de quelques-uns, n’est-ce pas la spéculation immobilière en personne qui se trouve à la manœuvre, dissimulée par ce concept sans durée garantie et juridiquement flou de « boisement urbain » ?

Un courrier plus détaillé est adressé ce jour à Madame le Commissaire enquêteur, avec copie à Madame le Maire de St Jean de Braye.
Changement de zonage Bonjour,
Veuillez trouver en pièce jointe le courrier pour la demande de modification de zonage.
Bien cordialement,
Protégeons les maisons de la rue Danton et le quartier pavillonnaire et historique Carnot, Danton, Joie, Arago de Fleury les Aubrais Madame la commissaire enquêtrice,
Lors de l'enquête publique du PLUM une seule réserve a été émise concernant le site de l'OAP "Interives-Libération" sur la réalisation d'un épannelage harmonieux répondant aux objectifs de la métropole et aux attentes des habitants actuels du quartier. De plus, la commission d'enquête a écrit qu'il serait opportun que la Métropole procède à un réexamen local en parallèle avec les termes d'un paragraphe du PADD qui précise "Respecter l'identité des quartiers...leur diversité comme témoignage de chaque histoire locale...tout en permettant de manière fine et encadrée des constructions contemporaines de qualité". Il est incompréhensible pour tous les habitants que le PLUM ne respecte pas ces recommandations et vise la destruction de l'identité du quartier Carnot, Danton, Joie, Arago. C'est pourquoi, il est indispensable d’identifier et protéger les maisons Rue Danton, et protéger l’identité pavillonnaire et historique du quartier.

protection d'un espace patrimonial (interdiction de démolir) Bonjour,
Je soutiens la demande exprimée dans la lettre jointe.
Merci de votre attention.
AM.
Inscription au PLUM Demande d'interdiction de déconstruire l'ensemble ornemental du rue de la Pellerine. Il s'agit de ce qu'on appelle un petit patrimoine qui mérite d'être préservé non seulement pour l'exemplarité des techniques de rusticage mais aussi pour la préservation d'un bassin servant de lieu de reproduction d'amphibiens. La biodiversité tant prisée passe aussi par le maintien en place de jardins ayant des bassins d'agrément.
Protégeons les maisons de la rue Danton et le quartier pavillonnaire et historique Joie Danton Arago Carnot Dans la modification n°3 du PLUm, la mairie de Fleury-les -Aubrais demande d’identifier « Bâtiments ou ensembles de bâtiments remarquables » de deux quartiers.
Ainsi, l’association des Riverains du Clos de Lapanty demande :

1- d’identifier et protéger les maisons
rue Danton, les seules construites entre la rue Carnot et la
rue Dessaux, indispensables donc pour conserver l’identité
pavillonnaire et historique du quartier.
2- d’identifier et protéger dans son ensemble notre
quartier pavillonnaire et historique, rue Lazare Carnot, rue
Danton, rue de Joie, rue Arago.
Ce quartier est composé de 57 maisons de la reconstruction
d’après-guerre et de maisons de la fin XIXème, début XXème
ayant survécu aux bombardements de la guerre 39-45.
Les maisons de la fin XIXème, début XXème sont toutes
identifiées à l’article L .151-19 du code de l’urbanisme et de ce
fait elles ne peuvent être ni démolies ni dénaturées. De façon
injuste les maisons de la rue Danton sont les seules
à ne pas être identifiées.
Protégeons les maisons de la rue Danton et le
quartier pavillonnaire et historique Joie Danton Arago Carnot !

Conservation patrimoine local Je soutiens la demande de Mr et Mme XX XX XX au rue de la Pellerine à Orléans concernant la conservation du kiosque et de la mare au sein du bien immobilier afin de préserver l'esthétique et rendre hommage aux artisans créateurs de cet art .
Une inscription au Plum permettra la conservation de cet art premier.
Dans la modification n°3 du PLUm, la mairie de Fleury-les -Aubrais demande d’identifier « Bâtiments ou ensembles de bâtiments remarquables » deux quartiers. Je m'associe à l’association des Riverains du Clos de Lapanty
qui demande :
1- d’identifier et protéger les maisons rue Danton, les seules construites entre la rue Carnot
et la rue Dessaux, indispensables donc pour conserver
l’identité pavillonnaire et historique du quartier.
2- d’identifier et protéger dans son ensemble notre
quartier pavillonnaire et historique, rue Lazare Carnot,
rue Danton, rue de Joie, rue Arago.
Ce quartier est composé de 57 maisons de la
reconstruction d’après-guerre et de maisons de la fin
XIXème, début XXème ayant survécu aux bombardements
de la guerre 39-45.
Les maisons de la fin XIXème, début XXème sont toutes
identifiées à l’article L .151-19 du code de l’urbanisme et
de ce fait elles ne peuvent être ni démolies ni dénaturées.
De façon injuste les maisons de la rue Danton
sont les seules à ne pas être identifiées.
Ensemble ornemental du rue de la Pellerine Bonjour, je souhaite que l'ensemble ornemental du rue de la Pellerine à Orléans soit rendu indestructible en raison de la qualité du travail de rusticage réalisé et de son intérêt visuel et écologique du quartier. De plus je souhaite aussi la fin de la densification intensive du quartier, promesse tenue par le candidat à la mairie devenu maire depuis.
Cordialement
Observation sur les éléments paysagers identifiés aux documents graphiques au titre de l'article L151-22 du code de l'urbanisme Madame, Monsieur,
Nous vous prions de trouver notre contribution en pièce jointe, relative au Cèdre de l'atlas du avenue de la Mouillère à Orléans.
Cordialement,
Préservation du patrimoine rue de la pellerine Il est un ensemble ornemental situé rue de la Pellerine qui mérite une attention particulière et qui pourrait être préservé grâce aux outils de planification territoriale. Ce petit espace d'environ 90 m² peut, au premier abord, apparaître comme un détail à l'échelle d'un PLU. Cependant, bon nombre d'habitants du quartier se sont attachés à cette pièce du patrimoine orléanais au fil des années. Représenté surtout par son kiosque unique, témoin du passé et des techniques artisanales populaires, cet ensemble abrite également des populations d'Alyte accoucheur. Il s'agit d'une espèce protégée sur l'ensemble du territoire métropolitain et inscrite à l'annexe IV de la directive habitats-faune-flore.

Par conséquent je vous demande de préserver cet espace sur le long terme grâce aux outils que vous avez à votre disposition afin de conserver une part importante de notre patrimoine architectural/paysager, culturel et naturel.
Quartier patrimonial oublié Que soit:
- identifiées et protégées les maisons rue Danton, les seules construites entre la rue Carnot et la rue Dessaux, indispensables donc pour conserver l’identité pavillonnaire et historique du quartier.
- identifié et protégé dans son ensemble le quartier pavillonnaire et historique, le seul de Feury-les-Aubrais rue Lazare Carnot, rue Danton, rue de Joie, rue Arago.
Ce quartier est composé de 57 maisons de la reconstruction d’après-guerre et de maisons de la fin XIXème, début XXème ayant survécu aux bombardements de la guerre 39-45.
Les maisons de la fin XIXème, début XXème sont toutes identifiées à l’article L .151-19 du code de l’urbanisme et de ce fait elles ne peuvent être ni démolies ni dénaturées. De façon injuste les maisons de la rue Danton sont les seules à ne pas être identifiées.
Ensemble ornemental à sauvegarder Bonjour,
Je soutiens la demande visant à interdire la déconstruction d'un ensemble ornemental situé 24 rue de la Pellerine à Orléans.
pétition quartier Bonjour,

Merci de prendre en compte la pétition ci-jointe.
Demande de repérage à l'article L.151-19 du code de l'urbanisme des maisons numéro: 22 26 28 et 30 rue Danton et du quartier pavillonnaire et historique Carnot-Danton-Joie-Arago à Fleury Les Aubrais. Madame,
Vous trouverez dans la pièce ci-jointe ma contribution.
Respectueusement.
demande modification zonage PLUM à l'attention de Madame le Commissaire Enquêteur,
Vous trouverez en pièce jointe le courrier du Président du Département du Loiret que j'adresse au Président d'Orleans Métropole comprenant les demandes de modification du PLUM et dont je vous remercie de bien vouloir enregistrer au registre d'enquête, d'en examiner les termes puis d'émettre un avis conclusif justifié sur cette requête.
Demande de repérage à l'article L.151.19 du code de l'urbanisme des maisons numéros 22-26-28-30 rue Danton et du quartier historique et pavillonnaire Carnot-Joie- Danton-Arago à Fleury Les Aubrais Madame,
Ci-joint la pétition organisée par l'association "Riverains clos de Lapanty"
accompagnée d'environ 250 signatures actuellement.
Respectueusement.
Quartier pavillonnaire et historique de Fleury les Aubrais. Je souhaite que soit identifié et protégé l'ensemble de notre
quartier pavillonnaire et historique, situé entre la rue Danton, rue de Joie, rue Lazare Carnot et rue Danton à FLEURY-LES-AUBRAIS. Ce quartier comporte aussi des jardins privés, poumons de verdure dans cette métropole qui s'urbanise de plus en plus ! Son âme historique est également à préserver : ne pas détruire les maisons datées fin 19ème, début 20ème siècle des 26-28 et 30 de la rue Danton sont à garder debout ! Le nouveau quartier Inter Rives va déjà suffisamment apporter de béton, de circulation, de pollution, d'activité et de modernité pour préserver notre quartier pavillonnaire auquel nous tenons, intact !
DIVISION DIVISION D'UNE CONSTRUCTION EXISTANTE : Article DC-1.3.2 DIVISION D'UNE CONSTRUCTION EXISTANTE

Madame, Monsieur,

Si l'article "ARTICLE DC-1.3.2 / LES TAILLES
MINIMALES DE LOGEMENT" permet heureusement de stopper le lotissement en de multiples unités d'habitations de nombreux immeubles et grands appartements orléanais, il semble absolument inapproprié pour s'appliquer à l'intégralité des contextes urbains de la ville et de la Métropole.

Cet article se limite à une seule phrase sur les 278 pages de la partie réglementaire générale du PLUM :
" La division d’une construction existante
conduisant à créer une unité d’habitation,
nouvelle, notamment par subdivision de
surface, par changement de destination ou
extension, doit comporter au minimum 50
% de logements disposant de 65 m² de
surface de plancher ou plus ; les autres
logements devant disposer de 30 m² de
surface de plancher ou plus."

Un article aussi restrictif ne peut qu'avoir des conséquences potentiellement délétères à l'initiation de projets de rénovation de l'habitat ancien du centre d'Orléans, pourtant indispensable au regard du très médiocre entretien de nombreux immeubles. De multiples cas faisant exception devraient permettre a minima de soumettre un dossier à l'étude par les services d'urbanisme de la ville sans être retoqué d'office par cette règle stricte.

Par exemple :
A partir de quelle surface minimale de l'immeuble ou de la partie concernée de l'immeuble cela est-il applicable ?
- Quel est le pourcentage de la surface totale initiale de chaque nouveau lot ?
- Quelle proximité avec des établissements d'enseignement supérieur ?
- Cette division entraine-t-elle une modification d'aspect de la parcelle ou des façades ?
- Les lots après division correspondent-ils a un besoin fort dans le secteur ou se situe l'immeuble
- Cette division restitue-t-elle un état d'origine de la répartition des lots au moment de la construction ?
- Les travaux de division permettent-ils de fait une amélioration du DPE de l'immeuble ?

De multiples questions de bon sens qui pourraient donner la possibilité d'étudier chaque demande et de considérer ou non le sérieux du projet. A cette heure, si cet article protège l'existence de grandes surfaces d'habitation pour y accueillir des famille, il implique un effet pervers évident : faire perdurer les transactions immobilières sans inciter les investisseurs à engager des travaux d'amélioration importants dans des secteurs où cela est si nécessaire. Il suffit d'y pousser des immeubles pour constater, même derrières les façades fraichement restaurées et subventionnées, que la qualité des conditions d'hébergement est encore très largement négligée.

Pour rappel, à horizon de 5 ans, et comme nous le voyons dans toutes les communications depuis plusieurs années, 4500 étudiants et 500 personnels auront investis l'université d'Orléans à Madeleine. Combien de logements étudiants construit ? 300 ! Tout en protégeant la mixité des populations d'Orléans, l'installation de famille, la qualité architecturale des bâtiments historiques et leur dispositions d'origine, de multiples projets de rénovation de l'habitat existant devraient pouvoir être menés là où c'est opportun et utile face au défi du retour de l'université en centre-ville !

Espérant que cette requête mène à une réflexion et une révision du PLUm à court terme.

Remerciant les enquêteurs de leur attention.

Sincères salutations.
Mardié - Parcelle cadastrée 24 – La Garenne -Demande de modification de zonnage Objet : Mardié - Parcelle cadastrée 24 – La Garenne

Le 01 avril 2025.

Madame, le Commissaire enquêteur.
Par crainte que ma requête ne soit pas arrivée à son destinataire, je me permets de la représenter, il serait très dommage de rater la fenêtre des consultations.
La documentation en ligne du Plum semble indiquer un classement en zone N de ma parcelle dont la référence est dans l'objet de ce courriel. Si cela est confirmé, je sollicite de votre compétence, un changement de zonage afin d’ouvrir une possibilité d’habitat.

Au cœur du bassin de vie de Mardié, surfant sur la dynamique du clos voisin de l’Aumône et de ses espaces verts déjà aménagés, ma demande s’appuie ainsi sur la prescription 2.1 du document d’orientation du Scot en promouvant le développement d’un habitat proche des équipements et services. Tout en soutenant l’attractivité démographique et l’accueil mesuré de nouveaux habitants, cette parcelle 24 de petite superficie (<1300m2) ne pourrait-elle pas être intégrée au zonage UR4-L voisin sans nuire à la transition écologique en arrière plan ?

En effet, limitrophe et séparée du clos de l’Aumône par la rue de la Garenne, elle est face aux réseaux tout à l’égout, électrique et téléphonique. Une borne incendie à 10 mètres complète la servitude.

En première ligne sur la route et située sur un point haut aux aléas géologiques faibles, sa façade ouverte Sud-Est donne rapidement accès aux commerces et services situés aux abords du clos de Pont aux Moines ainsi qu’au centre bourg. Ainsi l’accès aux soins de santé et aux équipements sportifs est accessible en quelques minutes à pieds, délaissant la voiture.

Ainsi sans engendrer de surcoût pour la commune, l’impact positif pour le commerce local et les services publics n’en serait que plus bénéfique. Ce terrain n'est donc pas excentré au sein d'espace agricole.

L’’extrême proximité avec une zone récemment urbanisée, son ouverture visuelle sur le centre bourg proche dominé par son clocher sont autant d’éléments qui pourraient favoriser son inclusion dans l’optique que nous vous proposons.

En pensant à mes aïeux Mardésiens qui ont œuvrés pour l’évolution de la commune en bâtissant entre autre, cette suite de maison de bourg sise 401 avenue de Pont aux Moines au début du 20ème siècle, ce serait un clin d’œil et un retour aux sources.

Dans l’espoir d’une suite favorable,

Salutations cordiales.
Cœur d’îlot « rue de la Pucelle » à St Cyr-en-Val Requête en annulation de ce projet de cœur d’îlot « rue de la Pucelle »
Cf. les nombreux arguments développés dans le courrier en pièce jointe.
Problèmes rue Maurice Dubois Destinataires les élus et les services de l'Urbanisme
Objet
Il y a un projet de construction d'un immeuble de 2 voir 3 étages au 1 rue Maurice Dubois ORLEANS 45000. La rue Maurice Dubois est une petite rue constituée de petits pavillons cela va entrainer des nuisances pour toute la rue en mauvais état qui est hyper passagère (elle accède directement à St Jean de la Ruelle et à l'usine Fagor (anciennement Brandt) . Quant au stationnement il est saturé par les habitants du Fg Bannier qui n'ont pas de place pour stationner même sur les trottoirs qui sont pris d'assaut ne laissant même pas le passage aux piétons qui sont obligés de marcher sur la route avec tous les dangers que cela représente. Un immeuble de plusieurs étages va ne faire qu'empirer la circulation et le stationnement même si des parkings sont prévus. De plus cela va casser l'harmonie de cette rue ancienne. D'ailleurs de projet est accolé à des constructions du Fg Bannier qui font partie de façades dites "remarquables" et sera à quelques mètres de pavillons classés "patrimonial" également remarquables. De plus la rue Maurice Dubois ne comporte que des pavillons maximum 1 Etage. Le projet de cette construction est donc incongru et va casser l'harmonie de la rue à laquelle nous sommes tous attachés en tant que riverains. Nous espérons que la sagesse et le bon sens des élus et des services de l'urbanisme saura préserver ce lieu traditionnel.
Demande de repérage à l'article L.151.19 du code de l'urbanisme des maisons numéros 22-26-28-30 rue Danton et du quartier historique et pavillonnaire Carnot-Joie- Danton-Arago à Fleury Les Aubrais Madame,
Vous trouverez dans les 2 pièces jointes la pétition des Riverains Clos de Lapanty avec 11 signatures supplémentaires.
Respectueusement.
Conservation coeur de jardin Bonjour,
vous trouverez ci-joint le courrier concernant la demande de maintien en l'état d'un zonage coeur de jardin.
Remise en cause du motif de refus de ma demande préalable de travaux Bonjour,

Sur le zonage, notre maison est située dans un quartier défini « zone UR1 ». Que signifie le 1 de « zone UR1 » ?
Quels sont les critères ?
Sachant que ce quartier est très mixte : petites maisons des années 30, des années 50, des années 70 et autres indéfinies, quelques résidences et beaucoup d’immeubles HLM : donc oui, "zone urbaine résidentielle", mais de toutes sortes et tous niveaux sociaux.
(voir fichier joint DP01)

Mon problème plus précisément est que ma demande préalable de travaux pour changer le toit de mon garage (en shingle très vieux, endommagé, avec plein de fuites) et y poser un bac acier de couleur rouge-tuiles, a été refusé, sur le motif qu’il est visible de l’espace public !
(voir pièce jointe : 3-photomontage-avec-bac-acier-rouge)

- 1- Le garage de nos voisins est collé au nôtre, et il a exactement le type de toit que nous avons fait deviser.

-2- Le matériaux est adéquat pour un garage, il ne s’agit pas d’une habitation !

-3- cf : page 10 du 5.1.12.a_-_Cahier_communal_Orleans__volet_reglementaire__M3 :

« LES MATERIAUX ET TEINTES
Afin de préserver la morphologie urbaine et les particularités architecturales communales, il convient de privilégier les matériaux de couverture de toiture suivants :
· ardoises naturelles ou artificielles d’aspect naturel,
· tuiles en terre cuite ;
· zinc.
Dans les zones UF1, UF2, UF3, UR1, UR2, UR3 et UB, hormis pour les équipements et services publics, le bac acier ou aspect similaire n'est autorisé que pour les annexes et les extensions des constructions existantes non visibles depuis le domaine public et à condition qu’il soit de qualité et que son aspect, sa forme et sa couleur soient similaires au zinc, à de l'ardoise ou de la tuile.»
Donc :
- Notre garage est bien une annexe des constructions existantes.
- non visibles depuis le domaine public car il n’est pas côté rue Maurice-Dubois, rue passante et axe très emprunté, mais il est côté rue Jean-Baptiste Massillon, rue empruntée uniquement pas les résidents de l’immeuble de 12 étages qui est donc à quelques mètres de notre garage, et uniquement pour se garer sur les places de parkings situées le long de cette rue. Qui va être dérangé ? Qu’est-ce qui justifie un refus pour un bac acier destiné à un toit de garage, dans une rue non-passante ? Où il y a déjà un toit similaire.
- et le bac acier choisi est de qualité idéale pour un garage et que son aspect, sa forme et sa couleur sont similaires au zinc (l’aspect et la forme),
- et à de la tuile (couleur du bac choisi : «rouge tuile»). (pièce jointe : DP05 Representation de l'aspect exterieur de la construction_2)

Sachant que notre garage avait un toit en shingle qui datait de plus de 35 ans, le bac acier ne peut être qu’une montée en gamme. Si, dans certains cas, le zinc est utilisé pour des habitations, le bac acier, lui, est suffisant pour un garage.

Je me permets de remettre en question la réglementation qui ne tient pas compte de ce qu’est réellement la gêne (ou non) occasionnée si un élément est «visibles depuis le domaine public», surtout un toit. Surtout dans un quartier fait à peu près de tout.

J’espère de tout coeur que mes remarques vont être prises en comptes.

Cordialement.
Remarques générales du CIMO - Club Immobilier de la Métropole Orléanaise Le Club Immobilier de la Métropole Orléanaise (CIMO) réunit les professionnels de l'immobilier travaillant sur le territoire, toutes professions et typologies d'entreprises confondues, afin de réfléchir et faire avancer ensemble leurs problématiques communes.
La commission "Territoires Durables" du CIMO travaille sur les questions d'urbanisme et de paysage. Notre groupe de travail à étudié la modification n°3 du PLUM d'Orléans Métropole.
Nous vous prions de trouver ci-joint les observations et remarques que nous soumettons à l'enquête publique au nom du CIMO.
demande de création d'un STECAL Merci de prendre connaissance du document joint