Cette année encore le public était au rendez-vous réaffirmant ainsi son attachement au jardin et à l’ambiance unique qui y règne.
Ces quatre jours de fête dédiés à la musique de jazz se sont achevés en apothéose le 21 juin avec le jazz débridé d’Electrophazz qui a ravi les spectateurs de tous âges. C’est bien l’ambition d’un festival, rendre accessible à tous les publics divers styles musicaux, diverses formations.
Là encore l’engagement est respecté. Jazz à l’Evêché aura brillé tant par la qualité du jazz qui y a été joué que par la diversité des influences et des formations réunies sur cette scène. L’Arménie d’Alain Manoukian a côtoyé le Brésil de Tania Maria, le jazz « cuivré » de Méloblast… pour ne citer qu’eux.
Parmi les rendez-vous incontournables on notera le succès des concerts du midi, la qualité de la proposition du Conservatoire et de Musique & Equilibre ainsi que le concert jeune public qui a attiré, grâce notamment à la mobilisation des enseignants et des équipes de la mairie, 1300 enfants sur les pelouses du jardin.
Electrophazz, le 21 juin
Tania Maria, le 20 juin
Orphéon Célesta « La Préhistoire du Jazz », le 19 juin
André Manoukian 4tet, le 18 juin